« Oublié » dans la réforme de la formation professionnelle de 2014 qui consacrait la création du conseil en évolution professionnel (CEP), il est finalement revenu dans la Loi El Khomri du 8 août 2016 qui le rend éligible au compte personnel de formation (CPF).

À l’heure actuelle, seuls 8% des bilans de compétences sont financés par les plans de formation des entreprises, mais les mentalités changent et les directions des ressources humaines commencent à comprendre qu’un salarié qui demande à son employeur de financer un tel dispositif ne projette pas forcément de lui faire faux bond pour la concurrence une fois son bilan en poche.

« Le bilan de compétences est devenu un atout majeur des politiques RH : un outil qui nous permet d’anticiper l’évolution des métiers et des compétences ».